Quand, pour la première fois, mes yeux sont tombés sur la campagne d’affiches du film « Les infidèles », mettant notre Jean Dujardin au firmament de sa gloire et son compère Gilles Lellouche dans des positions suggestives… enfin, mettant deux bouts de femmes – littéralement : une paire de jambes et un ensemble cou-tête – dans des positions suggestives face à ces messieurs anticipant une future joie, j’ai lâché un « Oohhh, c’est osé !! » mais honnêtement, ça n’est pas vraiment allé plus loin. Cette campagne, destinée à n’être que temporaire et à attirer l’attention sur un film qui s’annonce au 18e degré, en a pourtant choqué plus d’une, à tel point que l’ARPP (l’Autorité de régulation professionnelle de la publicité) en a demandé le retrait… Polémique qui m’a tout de suite ramenée deux trois mois en arrière, lorsque, au hasard d’un trajet en métropolitain, j’ai découvert cette publicité placardée sur tous les murs de la station traversée et qui m’a bien plus chatouillée. Culottée certes, mettant en branle l’hypocrisie de rigueur sur la question aussi, mais profondément cynique et reflet d’une société qui ne sait plus trop quoi inventer pour s’amuser tout en se faisant… des couilles en or ! Non, pas ça justement ou simplement métaphoriquement, puisque ce sont des femmes qui ont eu l’idée de génie de créer ce site qui se targue d’ailleurs d’avoir 1 140 255 membres. Desquels parlent-elles ?
En pratique, toutes les photos figurant sur ce site sont en vente. N'hésitez pas à me contacter pour plus de renseignements !
Un tour du Soleil en duos : 6e année en cours
Pour (re)découvrir en un clin d’œil et sur une seule page les micro-histoires photographiques publiées en ces lieux virtuels :
- entre le 22/02/2010 et le 22/02/2011, voici Un tour du Soleil en duos…
Par nuit douce et tempérée, la lumineuse esplanade de la Pyramide du Louvre se peuple d’une faune copurchic, distinguée et radieuse valsant, par grappe de quatre personnes dont deux toujours tapies dans l’ombre, d’un point remarquable à l’autre de la place avec une telle agilité que jamais elles ne se croisent. De telle sorte que, […]
Je m’étais dit que le jour du déconfinement, j’irais dans un parc ou mieux, au bois, pour aller revoir les arbres. Ils me manquent terriblement. Mais ce matin, en ouvrant la fenêtre, l’odeur nauséabonde – mélange étrange de brûlé et de soufre – à l’origine toujours non identifiée qui m’avait déjà poussée à la fermer […]
« Ecrire, ce doit être une souffrance », m’avait-il dit. Sur le coup, cette petite phrase m’avait fait mal. Je ne comprenais, en effet, pas pourquoi faire ce que l’on aime devait être douloureux. D’une manière générale, pour tout être normalement constitué (mais, est-ce qu’il existe vraiment ?), lorsqu’une action nous fait souffrir, on évite d’avoir à […]