Trouver un petit coin en hauteur suffisamment isolé du tumulte ambiant pour se croire loin de tout, se poser face à l’océan, faire le vide en soi, n’écouter que le bruissement des vagues s’échouant délicatement sur la plage. Et le regarder descendre du ciel sans ciller. Et le voir colorer le monde de reflets mordorés. Et s’extasier, chaque jour, comme si c’était la première fois…
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Share on FacebookDans une pièce aux étagères supportant des bottins du monde entier. Prenons-en un au hasard. Ile de Montréal, 1996. Feuilletons-le. Arrêtons-nous sur une page, au hasard. Voilà. Celle-ci est bien. Quelle influence a notre nom sur notre être, notre vie, nos aspirations ? Que signifie : il/elle porte bien son nom ? Et là, présentés […]
Share on FacebookMystère matinal post-canicule : les hommes, tout du moins, leurs cages métalliques, ont disparu de la circulation ! Je ne vois que deux solutions : soit elles ont pris leur indépendance, profitant de la nuit pour s’évader silencieusement au point mort ; soit les hommes les ont emportées loin de toute civilisation… pour la recréer […]
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