Trouver un petit coin en hauteur suffisamment isolé du tumulte ambiant pour se croire loin de tout, se poser face à l’océan, faire le vide en soi, n’écouter que le bruissement des vagues s’échouant délicatement sur la plage. Et le regarder descendre du ciel sans ciller. Et le voir colorer le monde de reflets mordorés. Et s’extasier, chaque jour, comme si c’était la première fois…
Sournoise, la lumière, tapie dans l’ombre et affamée, les grignotait tous, les uns après les autres, en de parfaites bouchées rondes, sans qu’ils ne s’en rendent vraiment compte et ne s’en effraient… 5 Share on Facebook
Share on FacebookUne drôle de nouvelle ce matin dans le journal : une rafle de nains ! Cela s’est passé ce matin à 6h30 dans une banlieue quelconque. Il faisait encore nuit… Seuls les grands-pères étaient réveillés. Crissement de pneus, phares allumés. Hauts les mains ! Impossible soit dit entre nous… « Nous avons reçu des plaintes de […]
Share on FacebookLorsque j’emprunte un escalier en pierre, je finis toujours par me poser cette question : comment un geste non agressif mais répété inlassablement – un pas devant l’autre – peut-il à ce point altérer un matériau aussi solide que du marbre – en déformant irrémédiablement ses marches ? C’est la même interrogation qui s’est affichée sur mon écran interne […]
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