La marée a trouvé plusieurs fois écho en ces p(l)ages virtuelles (notamment La marée, Coquillages et juste assez, Salmigondis marin, La photographie est un sport de combat). Un sujet qui va, qui vient, au gré des humeurs, du calendrier lunaire et des heures de la journée. La mer aux deux visages… Inlassablement, la marée recouvre et découvre des étendues, offrant un spectacle en perpétuelle métamorphose à ceux qui la suivent. Pas de demie-mesure, de mer à moitié vide ou à moitié pleine. Elle ne s’arrête jamais en route ! Sable fin ou rochers habités de mollusques, d’anémones et autres algues glissantes sont ce que dévoile la marée descendante la plupart du temps…
De fait, cette marée basse-là est particulièrement étonnante, étrange voire inquiétante. Un labyrinthe de pics acérés, résidu d’une mangrove en décomposition, champ de bataille marin… Un véritable piège et une mauvaise surprise pour le nageur attiré par les eaux chaudes et bleutées très accueillantes à marée haute de cet océan Indien et qui se jetterait, pieds nus, dans ses courants. Quand une peau lisse révèle en fait une hostilité pas si profonde… Les apparences sont parfois bien trompeuses.
Contrairement aux apparences, souvent trompeuses, ces images n’ont pas été volées au Musée des métiers d’antan, si jamais il existe, mais bien au présent. Pourtant, il y a à parier que rien n’a changé en ces lieux – en haut et en bas – depuis plusieurs décades. Comme si le temps s’y était posé. Du […]
Share on Facebook9 Share on Facebook
Share on FacebookUne journée n’est jamais vraiment finie avant d’être réellement finie, c’est-à-dire, une fois que l’on est bien au chaud sous la couette voire endormi pour une nuit sans sursaut. Hier soir, vers 23h40, je lâche une de mes trivialités préférées dont la maîtrise m’échappe totalement : – J’ai pas vu la semaine passer, on est […]
Share on Facebook