Mes vacances avec Holga. C’était le titre d’un livre photo. Avec Holga donc. Je ne connaissais pas. Naïvement, j’ai d’abord cru à un voyage en Russie. Retour à l’ouest pour cette image irréelle. Le fruit imprévisible d’Holga. Appareil photo plastique qui laisse, si on le souhaite, passer la lumière. D’où, par exemple, les petites ailes rouges sur Voyages télescopés, que j’avais d’abord effacées avant de me raviser. Cette image était la volonté d’Holga.
Donc, résultat imprévisible et à la reproductibilité plus qu’utopique. Mais, au fond, c’est exactement ce qui est recherché en utilisant ce genre d’appareil ouvertement imparfait. Un dérèglement, un grain de folie, une prise de liberté avec le sujet qui nous échappe, ne nous appartient pas… Dans cette pseudo anarchie photographique, le contre-pied de l’opérateur consiste à forcer le destin, sans pour autant pouvoir se vanter d’anticiper l’esprit de l’image finale. Fixer sciemment l’astre brillant et tout se dérègle ! Une vraie déflagration. L’image se défile sous nos yeux. Se dématérialise. Et le Flat Iron Building se mue en gardien tout puissant d’une ville haute, devant lequel on se prosternerait presque. Vive Holga !
Eram, Salamander, André, Pataugas, Louboutin, Kickers, Free Lance, Jonak, Minelli, Geox, San Marina, Clarks, Jimmy Choo, Spring Court, Dr Martens, Fratelli Rossetti… Je m’arrête là, mais vous l’avez compris, des marques de chaussures, il y en a des milliers ! Et parmi elles, de très confortables. Pourquoi donc ces deux religieuses, déambulant d’un pas alerte […]
Share on Facebook“Sur une branche, perchée avec…”, un rendez-vous quotidien avec un membre de l’échomunauté… Tout de suite, Céline Blin. Quelle est la place de la photographie dans ta vie ? C’est une place variable… Mon appareil, c’est le prolongement de mon bras quand je suis en vadrouille (surtout dans les paysages urbains), une extension de mes […]
Share on FacebookTop, c’est parti ! Je suis le premier à vous souhaiter la bienvenue lorsque vous arrivez dans un tout nouveau pays, après deux ou dix-huit heures de voyage, que vous soyez pétillant ou exténué ! Je sais à la seconde où vous m’utilisez que vous avez franchi une nouvelle frontière ! Je fais en sorte […]
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