… à utiliser le numérique ! Cela s’est passé à Malte, à La Valette plus précisément, il y a 8 ans exactement, modulo quelques jours, je m’en souviens comme de la première cigarette que je n’ai jamais fumée… Je baptisais mon reflex numérique de seconde main amicale fraîchement acquis, j’errais dans les rues blondes de la cité et déclenchais fièrement. Je regardais mon écran, je les trouvais plus belles, mes photos. L’illusion, voire le miroir aux alouettes, de l’immédiateté peut-être ?
A cette époque, je ne pouvais imaginer à quel point ce glissement matériel allait complètement révolutionner ma pratique photographique jusqu’à lors majoritairement argentique. D’abord quantitativement puisque j’ai réalisé plus de 100 000 clichés digitaux depuis – enfin, bien plus puisque ceux que j’ai effacés ne sont pas comptabilisés -. Une quantité indécente qui, aujourd’hui, pose d’ailleurs de sérieuses questions d’organisation, de classement et de mémoration. Fort heureusement, la révolution a aussi été qualitative, ce que je perçois comme une conséquence directe de la possibilité de multiplier les prises sans que les coûts suivent la même courbe ascendante. Cette facilité déconcertante à faire et à refaire à l’infini – et donc à s’approcher par dichotomie du but à atteindre – est totalement désinhibante donc salutaire, même si elle ne suffit évidemment pas. Ce seront en effet toujours les yeux – en connexion directe avec le coeur et le corps – qui prendront une photo et non l’appareil vissé devant. Et ceux-là doivent continuellement apprendre à voir et à voir autrement… Finalement, je reviens sur mon titre tapageur et provocateur, car non, rien de rien, non, je ne regrette rien ! Ni le numérique ni cette clope que je n’ai jamais grillée !
Croiser une personne nous annonçant qu’elle en connaît une autre – de près, de loin – ayant exactement les mêmes nom et prénom que nous, ou que, pas plus tard qu’hier, elle en a vu une nous ressemblant comme deux gouttes d’eau – expression propre aux pays non touchés par la désertification -, ou apprendre que nous avons au moins un homonyme dans notre propre ville et que nous partageons le même ophtalmologiste, ou pire encore, se retrouver face à lui – l’homonyme – provoque, assurément, une secousse tellurique très intime inversement proportionnelle à la fréquence de ce qui sert communément à nous nommer, et donc à nous désigner, depuis notre naissance. Sans doute, les Marie Martin, cumulant à la fois les prénom et nom les plus répandus en France depuis les années 60, réagissent-elles plus sobrement en effet qu’une hypothétique Noélyne Pourbaix-Lerebourg…
Tout d’un coup, nous réalisons, si la vie ne s’en est pas chargée plus tôt, que nous ne sommes pas uniques, que des gens, de parfaits inconnus aux mœurs peut-être, que dis-je ?, certainement, radicalement différentes des nôtres, répondent aux mêmes injonctions que nous, en dépit du sens commun et de ce qui s’échange sur la portée des prénoms choisis ; que des sosies se baladent librement sur Terre sans que nous ayons vraiment conscience de leur existence et de leur nombre, ni planifié de les rencontrer un jour… Pour autant, et nous le comprenons assez vite heureusement, ces doubles, fantasmés ou pas, n’en sont pas vraiment. Notre unicité est sauve ! Un peu comme avec les premières dix images de cette série à double fond, pur exercice de mathématique combinatoire à la difficulté croissant avec la pratique photographique, images souffrant de ce que nous pourrions appeler « photonymie », dont les formes les plus avancées conduisent inexorablement à des rencontres fusionnelles aussi étonnantes que foisonnantes entre des lieux, des moments, des personnes qui ne se sont évidemment jamais réellement croisés ailleurs que dans mon passé.
C’est certainement la question qui m’est posée le plus spontanément lorsque j’apprends à quelqu’un que je « fais » de la photo. Quelle est ma spécialité, en somme ? La question a beau être tout à fait légitime – le progrès et la complexité ont fait de nous des êtres spécialisés -, il m’est toujours difficile d’y répondre tant j’ai la sensation de ne privilégier aucune piste. La succession quotidienne de mes clichés sur ce site l’atteste mieux que mes mots. Reste que, comme tout autour de nous, rien n’est figé et tout évolue. Ainsi, il y a encore 4 ans, je pouvais annoncer que je ne faisais quasiment pas de portrait ou de photos où les hommes – au sens large, mes congénères donc – étaient au cœur du sujet et non pas des éléments parmi d’autres de mon champ visuel, ou encore les simples garants d’une universalité flattant mon idéal d’équité. Et puis, j’ai eu envie d’essayer de m’en approcher. Cela ne s’est pas fait sans appréhension, la distance, en particulier, à trouver d’abord puis à instaurer ensuite, entre le « sujet » et soi n’ayant rien à voir avec celle qui s’installe lorsque ce sujet est un paysage par exemple. Et je mets ici de côté le fait que, pour le paysage, le voyeur – simple observateur ou photographe – n’existe pas vraiment. Ce n’est pas le cas pour un autre être humain, quels que soient les efforts de discrétion fournis pour être invisible. Le théâtre s’est avéré être l’une de mes portes d’entrée vers les autres. Il ne s’agit donc là pas de réalité mais de sa représentation.
Avec la Cie Le Bouc sur le toit, que j’ai depuis intégrée, en tant que curieuse – mon métier officiel -, j’ai découvert un monde. Et en tant que photographe, un autre rapport à la distance donc, mais également à la lumière et au temps. Mettons la lumière dans un coin pour l’instant. Quand je parle de temps, je pense à celui de l’action. A moins d’assister aux répétitions et de finir par connaître la pièce travaillée par cœur – ce qui, en pratique, est mon cas -, tout n’est que surprise. Les déplacements, les échanges, les confrontations… A tel point qu’il peut être difficile d’anticiper ce qui va se produire sur scène. De l’autre côté de l’œilleton, cela requiert donc une attention extrême doublée d’une réactivité sans faille. Or, entre le moment où quelque chose se passe, dans la réalité je le précise même s’il n’y a pas vraiment d’alternative, et celui où l’on prend conscience de ce qui s’est passé, il s’écoule déjà 300 ms pour un adulte lambda ; il en faut 150 de plus au minimum pour prendre une simple décision, puis encore 70 pour amorcer la réponse motrice – en l’occurrence, prendre une photo, déclencher. Cela peut vous sembler infinitésimal, mais, à l’échelle d’un regard entre deux personnes, d’un geste subliminal, il est presque déjà trop tard, et ce, pour des raisons totalement indépendantes de notre volonté. De fait, la chance est un facteur à ne pas négliger dans ce contexte… Mais avec un peu d’entraînement, les résultats s’affinent.
Il y a encore quelques jours, je pouvais aussi dire que je ne m’étais jamais essayée à la photo de sport. Et, comme avec le théâtre, j’ai eu envie de voir. Cela aurait pu être du basket-ball, de la natation synchronisée, de l’escrime, c’est vers le foot que je me suis tournée. Les rencontres, ou connaissances, ou amis, ou autres, permettent souvent de réduire le champ des possibles de fenêtres trop grandes ouvertes. Très schématiquement, au foot, des personnes courent après un ballon et tapent dedans dans l’espoir de l’envoyer au fond du filet de l’équipe adverse. Dans les deux cas – courir et taper -, ce sont des gestes qui se préparent un minimum. N’ayant pas la célérité d’une mouche – ces empêcheuses de tourner en rond modifient subrepticement leur plan de vol en moins d’un centième de seconde, soit 50 fois plus rapidement que le temps nécessaire à un œil pour cligner -, lorsque vous vous mettez à courir, ou à sauter, ou à marcher, un observateur extérieur – étrange formule : quid de l’observateur intérieur ? – peut pré-voir, sans trop de risque de se tromper, où vous serez l’instant d’après. Il s’agit là de cinétique de base, de balistique, d’une banale histoire de trajectoire dépendant de conditions initiales. Cette remarque n’en est pas moins cruciale aux yeux du photographe puisque cela signifie que, contrairement à ce qui se passe sur scène et indépendamment de la lenteur intrinsèque de son cerveau dont il ne peut décemment pas se plaindre, il peut anticiper l’action suivante et donc, moyennant quelques rapides calculs, se préparer pour déclencher au « bon moment ». Bien sûr, d’autres paramètres entrent en jeu pour compliquer la prise de vue.
La vitesse en est un, et par extension, la distance, le ballon de football, envoyé de-ci de-là, se muant ici en une sorte de machine à voyager dans le temps. Certes, pas très loin, tout au plus quelques secondes dans le futur, et qui plus est, dans une même unité de lieu générale. Mais c’est loin d’être négligeable. Et pour le photographe, qui n’est pas un ballon, et, à ce titre, a besoin de temps pour se déplacer d’un point A à un point B et se retrouver face à l’action, la donne change. D’autant plus que pendant ce laps de temps, ledit ballon a très bien pu faire un nouveau voyage et se retrouver de l’autre côté du terrain. Ce n’est plus le cerveau qui freine mais bien le corps, son poids, son inertie, son ancrage au sol, pire son incapacité à voler… De fait, la chance est également un facteur à ne pas négliger dans ce contexte sportif. Et d’ailleurs, je lui dois cette image de prime abord sans relief : dans le feu de l’action, affairée à régler cadrage, mise au point, vitesse, zoom, je n’ai pas réalisé que le ballon, exactement au centre de l’image et dans lequel la joueuse au bandeau s’apprête à frapper, n’avait pas vraiment la taille réglementaire et, encore mieux, se jouait subtilement des perspectives et des illusions…
« Détachez-vous, détachez-vous, détachez-vous… » Je me répète ces deux mots à voix basse comme s’ils avaient le pouvoir d’une formule magique, l’oeil droit rivé derrière le viseur, l’index en position optimale pour déclencher en moins d’une seconde une fois les conditions attendues réunies. Ou, susceptibles de l’être. Mieux vaut d’ailleurs être patient car cela peut durer un certain temps… Ou comment diraient Dupont et Dupond, un temps certain.
Ainsi, sur cette plage d’Iquique plantée face à l’Océan Pacifique (mais cela aurait pu être sur celle d’Hourtin face à l’Atlantique), j’attendais que les silhouettes mouvantes et aux trajectoires erratiques donc difficilement anticipables de ces douze joueurs de football balnéaire se détachent une à une à l’horizon. Ce n’est pas que je n’apprécie pas les amas indistincts d’êtres humains, mais je préfère pouvoir les discriminer. Pour des raisons esthétiques. Pour le micro défi photomathématique. Pour le test de patience enfin.
Attention spoiler : j’ai bel et bien réussi à les capter dans cette configuration hautement improbable (cf photo ci-dessus !) ! Pour ce faire, j’avais le choix entre deux stratégies, élaborées sur la base de ma très fine expérience des Vélibs parisiens et en particulier des stations pleines : dans de telles circonstances, soit vous roulez vers une autre station après avoir vérifié au préalable qu’il lui restait des places, soit vous attendez là quelques minutes en espérant qu’une personne viendra récupérer un vélo (et libérer un emplacement dans la foulée). Mobilité versus immobilité, j’ai testé les deux options (qui en disent long sur vous par ailleurs), elles fonctionnent.
Retour à la plage : j’aurais pu choisir de bouger – courir en fait – et tenter de suivre les allées et venues des joueurs sur ce terrain bosselé pour réussir à faire cette photo, mais cela m’a paru plus complexe, plus dangereux (notamment pour l’appareil) et surtout plus fatiguant que d’enfoncer mes pieds dans le sable et d’attendre que cette conjonction de coordination nécessitant une attention sans faille, une réelle maîtrise des vitesses relatives et absolues des joueurs les uns par rapport aux autres, une vision périphérique optimisée ainsi qu’un zeste de chance se produise devant moi… Ce qui est effectivement arrivé ! Moralité, dans la vie, tout vient à qui sait attendre !
Aucune ville n’est parfaite, pour la simple et bonne raison que la perfection n’existe pas. Et puis, heureusement, car si cette ville existait, tout le monde voudrait y vivre. Cela ferait monter les prix de l’immobilier, s’y loger deviendrait impossible hormis pour les plus nantis. La ville perdrait alors son qualificatif de parfaite pour le troquer par celui de ghetto. Et puis, même si la perfection existait, il faut être conscient qu’elle n’attire pas tout le monde. Bref. Certaines villes, donc, se rapprochent néanmoins de cette perfection, ce qui n’a aucune valeur universelle pour autant mais est simplement le sentiment totalement subjectif qu’une personne pourrait ressentir en vivant dans telle ou telle ville, et en réalisant qu’elle cumule un certain nombre des critères qu’elle a listés comme essentiels pour sa ville d’élection, ou du moins, rêvée.
Une des limites, connues et avérées, de Vancouver par exemple est – certes la pluie mais, comme on ne fait pas d’omelette sans casser d’œufs, on n’a pas une nature verdoyante sans un peu de précipitation -, son relatif désintérêt pour la culture, au profit du outdoor, des activités sportives, du plein air. C’est vrai, les premiers temps, on transpire à force de voir des gens courir, pédaler, ramer, surfer, courir, je sais, je l’ai déjà écrit, mais ils courent vraiment beaucoup… Et puis, on finit par prendre le rythme, comme si c’était contagieux. On se voit en train de courir le long de la mer alors que l’on s’était juré de ne jamais courir après rien, on s’achète un vélo et on part à la conquête de la ville. La culture donc, c’est ce qui ressort quand on compare l’est et l’ouest, Vancouver et Montréal, connue pour son dynamisme en la matière. La tête et les jambes ? Cela n’empêche pas les québécois de faire du sport, et de vouer, comme leurs lointains voisins mais néanmoins compatriotes, ou plutôt comme tout canadien/ne dès les premières heures de sa vie, un culte sans borne au… hockey. Le fameux hockey sur glace, ou sur bitume dès lors que la glace a fondu ou n’a jamais pris. Ce n’est pas un mythe.
C’est un peu comme le foot en France un soir de finale de coupe du monde qu’elle jouerait mais en dix fois plus hystérique. Les canadiens pensent, vivent, boivent, mangent, dorment, s’habillent hockey et cette adoration dépasse les classiques questions de genre, d’âge, de sexualité, d’origine… Deux exemples pris sur une liste imaginaire qui en comporterait des centaines : un récent soir de match de l’équipe locale – les Canucks -, une immense toile de probablement 4 m sur 10 m pendait côté arrivée de la tour de contrôle de l’aéroport international de la ville avec un immense : Go Go Canucks ! Vous imaginez les gars de la tour de contrôle de Roissy accrocher un énorme drapeau « Allez, allez le PSG ! » ? Non ! Ici, c’est possible. Espérons simplement qu’aucun avion n’arrivait de ce côté là ! L’autre exemple ? Temps de pique nique sur la plage, après midi qui joue les prolongations. Mais il y a match ce soir. Dilemme ? Rentrer chez soi, rester ici ? Les deux mon capitaine en installant le salon avec écran plat et sièges sur l’aire elle-même ! Comme ça, après le match, on peut reprendre la partie de volley à côté ! Ainsi, si vous trouvez que la ville est anormalement vide et silencieuse à certaines heures de la journée, c’est sûrement qu’il y a un match en cours. C’est alors le moment pour tous ceux qui n’y entendent rien – mais il n’y en a pas beaucoup il faut l’admettre et je doute qu’ils s’en vantent d’ailleurs – d’aller magasiner : il n’y aura personne aux caisses et l’affaire sera réglée en moins de 2… Evidemment, vous croiserez une espèce particulière de Vancouvérois, dont les caissiers/ières d’ailleurs, portant un T-shirt Canucks. Marketing parfait quant à lui puisqu’il y en a pour les hommes les vrais, les femmes les vraies, les enfants, les bébés et même les chiens (à vérifier, sinon, je lance le business (ça y est, je me nord-américanise !). Etant donné que c’est peut être la deuxième passion du pays, ce qui semble tout à fait logique compte tenu de l’espace, je ferais d’une pierre deux coups !)… C’est donc tout naturellement que cette sirène (oui, tout ça pour ça) accueillant les visiteurs de la ville a été habillée de la tenue officielle de l’équipe et équipée d’une crosse… Voilà comment Vancouver se réconcilie avec la culture ! Ce qui pourrait être le mot de la fin, mais non… car la sirène, au naturel, est elle-même un détournement sportif de la sculpture de la Petite sirène de Copenhague… Si vous regardez bien, vous verrez que celle-ci, en tenue de plongée (si, si) porte des palmes… Et ce que cache sa casquette n’est autre que son masque de plongée ! Cet humour, ça doit être culturel !
L’écoute matinale de la radio conduit, de temps en temps, à se poser un certain nombre de questions, triviales parfois, ou à lancer quelques commentaires à la volée, désobligeants parfois… Quand, par exemple, un philosophe est convoqué pour ergoter très sérieusement sur le ballon rond et la catastrophe nationale qui se joue à l’autre bout de la planète, on se dit que, quelque part, le monde ne tourne pas rond, qu’on a manqué un épisode…
Evidemment, si ces philosophes engageaient autant leur pensée sur des choses plus sérieuses, l’équilibre serait respecté. Malheureusement, ce n’est pas toujours le cas… On en oublie qu’aujourd’hui, c’est le 1er jour de l’été, même si la météo nous y aide un peu ! Et que, comme chaque année en ce même jour depuis 28 ans, c’est aussi la Fête de la Musique ! C’est donc le bon jour pour se souvenir que la musique adoucit les mœurs même si l’envie serait plutôt de tout envoyer en l’air, comme le font ces enfants bien accrochés à cette balancelle défiant la pesanteur !
Et c’est parti pour un mois de « footcheball » ! Le mondial aura beau se tenir aux antipodes, nous en mangerons matin, midi et soir, dans les journaux, à la télé, à la radio, dans le métro, dans les bars, en terrasse, sur les trottoirs, au musée, au restaurant, dans les cours de récréation, au bureau… Chaque ville qui se respecte annonce, depuis des semaines déjà, avoir installé un écran géant sur sa belle place pour permettre à ses concitoyens amateurs de ballon rond, et les autres – ce sont des électeurs après tout – de se retrouver pour suivre, un peu en famille, les matchs en direct.
Car, ces antipodes là ont un avantage indéniable pour les diffuseurs et les villes, il n’y a pas de décalage horaire entre la France et l’Afrique du Sud… Inutile de se lever au beau milieu de la nuit pour regarder Corée du Sud – Grèce ou Nouvelle Zélande – Slovaquie ! Inutile de se bâillonner pour étouffer cris de colère, de joie, d’exaspération, tous susceptibles de réveiller la maisonnée dans une poussée d’adrénaline totalement inutile à cette heure ! Evidemment, ce n’est pas le cas de tous les pays participants. Au Chili par exemple, il y a 6 heures de décalage horaire avec le pays organisateur et les matchs du pays seront retransmis tôt le matin, entre 7h30 et 9h30, juste avant d’enchaîner avec la journée de travail. Autant dire qu’à la fin du match, une autre partie de plaisir va commencer : les embouteillages ! Conscient de ce potentiel problème, le Chili a donc décidé de reprogrammer, non pas les matchs, mais ses feux tricolores ! Quel pouvoir quand même !
En pratique, toutes les photos figurant sur ce site sont en vente. N'hésitez pas à me contacter pour plus de renseignements !
Un tour du Soleil en duos : 6e année en cours
Pour (re)découvrir en un clin d’œil et sur une seule page les micro-histoires photographiques publiées en ces lieux virtuels :
- entre le 22/02/2010 et le 22/02/2011, voici Un tour du Soleil en duos…
“Sur une branche, perchée avec…”, un nouveau rendez-vous avec un membre de l’écho-munauté… Pour débuter la journée, Caroline Rousseau-Coste. Quelle est la place de la photographie dans ta vie ? Je dirais une place familiale et sentimentale ! C’est surtout pour moi une envie de souvenirs et de partages… J’ai gardé mon premier appareil, un […]
Un œil de bœuf emprisonné qui donne sur un mur, un escalier torsadé qui commence à la huitième marche et qui n’en compte que six, c’est totalement surréaliste… Mais n’est-ce pas normal quand, soi-même, on se trouve dans une annexe du Musée Dali de Figueras ? 4 Share on Facebook
Je n’ai pas osé m’approcher du cartel, comme l’a fait ce trio intergénérationnel mère-fille-mèregrand, de peur de tomber des nues. Je suis donc restée à distance de ce carré creusé dans la surface et laissant apparaître celle, raturée, de bois brut, de la structure de cette institution new-yorkaise dédiée à l’art moderne. J’aurais eu peur […]