C’est seulement après avoir repris mon souffle, d’abord coupé par l’ascension continue puis par la beauté du lieu qu’elle dévoile, que je laisse remonter une vieille antienne à la surface : quelle perception du monde et des autres peuvent – ou veulent – avoir des personnes ayant décidé de vivre – certes ensemble mais en comité restreint – dans des endroits aussi isolés du monde et des autres, et aussi difficilement atteignables ?