Normalement, ce jour-là, c’est-à-dire, un 24 juillet dans l’hémisphère nord, au summum de l’été donc, au sommet de Crater Lake aussi même si ça n’est pas très haut, le sol n’aurait pas dû être partiellement recouvert de neige mais massivement habillé d’un gazon vert non tondu sur lequel les visiteurs du jour auraient pu courir, s’ébattre, pique-niquer, ramasser des pâquerettes, jouer au volley, au cricket ou faire la sieste… Normalement, cela aurait dû se passer ainsi. Clairement, en ce 24 juillet, la neige est un intrus. Ce que confirment les têtes incrédules sortant de leur voiture, accompagnées de leur corps ballant et engourdi par de longues heures de route, en arrivant au point culminant du parc, par ailleurs proche de son entrée. Voilà pourtant que deux familiales arrivent sur le petit parking, hors champ, et s’y garent, laissant s’échapper deux familles indiennes sur trois générations. Comme les autres, ils sont incrédules. Mais pour une raison totalement différente : c’est en effet la première fois qu’ils peuvent toucher de la neige, marcher dessus, l’entendre crisser sous leurs pas ou encore se jeter des boules de neige ! Alors que les autres – ceux que la neige n’émerveille plus – jettent leur dévolu sur le reposant reflet de la caldeira à la surface du lac, eux profitent, logiquement, de ce qu’ils n’auraient pas dû voir, normalement. Finalement, les retards de saison peuvent avoir du bon…
Dans la labyrinthique et mythique médina de Marrakech. A errer de ruelles en venelles. Entre les murs ocres et la terre rouge. Le regard s’égare. Il scanne. Se heurte à des murs, des détours, des contours. Cherche le ciel. Bleu. La sortie. Des repères là où tout le monde semble savoir exactement où il est. […]
Share on FacebookSouvent, en passant devant ce genre d’affiche légèrement désespérée, j’ai ri. Et ce n’est pas à cause des fautes d’orthographe. Evidemment, je suis très triste pour le propriétaire du chat, du chien, du doudou… Encore que le doudou ne cadre peut-être pas (ils ne sont pas si fous !) avec ce qui va suivre. Sauf […]
Share on Facebook… réservent parfois d’étonnantes surprises. De bonnes surprises ! Je ne parle pas ici d’hygiène ou de propreté, mais de décoration (volontaire ou pas), de mise en scène, d’attention particulière pour ce lieu « propice », comme le qualifiait l’une de mes anciennes professeurs de français au lycée. Je suis d’ailleurs étonnée qu’il n’existe encore aucun guide […]
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