Je pousse la lourde porte de bois dense sculpté et me heurte à ces frêles silhouettes dans la nuit profonde chargées d’un espoir à géométrie variable se consumant avec le souffle du temps…
Je pousse la lourde porte de bois dense sculpté et me heurte à ces frêles silhouettes dans la nuit profonde chargées d’un espoir à géométrie variable se consumant avec le souffle du temps…
L’avantage, lorsque l’on se met l’étrange idée en tête de suivre un steward dans un train, c’est que, comme dans un avion, il n’y a pas réellement d’échappatoire ni d’alternative à la ligne droite (ce qui n’a jamais empêché les hôtesses de nous indiquer vaillamment le chemin pour rejoindre notre place). Par ailleurs, il y a tellement de bruit que l’on peut s’approcher de la cible sans se faire remarquer. Je le conseille chaudement à tous les apprentis en filature !
(Le Delta) Silencieuse, sur ma barque, je me perds dans ses bras, en attendant que la Lune, pleine, me prenne dans les siens. (Du Mékong) 4 Share on Facebook
Share on FacebookLe temps, c’est un peu comme une valise. Ou un sac à dos, selon le voyageur que vous êtes. Tant que nous n’avons pas essayé de la/le fermer, nous sommes toujours tentés de lui ajouter un ou deux ou trois petit(s) « quelque chose »… De fait, tant qu’un intervalle de temps défini – prenons une journée pour […]
Share on FacebookLonger la plage dans un sens, puis, arrivés au ponton, là où l’on ne peut plus avancer, marquer un bref temps d’arrêt, se retourner, et l’arpenter dans l’autre sens, avec la même concentration, la même tête baissée, jetant parfois des regards absents d’un côté vers la ville, de l’autre vers l’horizon, jusqu’à ce que la […]
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