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Alors, oui, la pluie mouille ; oui, la pluie, surtout si elle s’éternise, en voyage ou en vacances – les deux pouvant être concomitants -, est un peu rageante – certains ont l’impression de se faire avoir, un peu comme avec les jours fériés qui tombent le week-end – ; oui encore, la pluie, quand on est photographe et mal équipé « aquatiquement », peut être problématique. Mais sans la pluie, ce macadam n’aurait ni brillé ni réfléchi les couleurs vives et chatoyantes de cette boutique-hôtel qui, manifestement, ne croit pas en l’adage « Pour être heureux, vivons cachés » ; sans la pluie, ce monsieur aurait certes pu passer à vélo, mais il n’aurait pas cherché à se protéger avec ce parapluie – qui fait presque figure de cerise sur le gâteau… Sans la pluie, ce lieu n’aurait été qu’un grossier bâtiment donnant sur un énième parking et réciproquement. Bref, la pluie, spagrave !