Je pousse la lourde porte de bois dense sculpté et me heurte à ces frêles silhouettes dans la nuit profonde chargées d’un espoir à géométrie variable se consumant avec le souffle du temps…
Je pousse la lourde porte de bois dense sculpté et me heurte à ces frêles silhouettes dans la nuit profonde chargées d’un espoir à géométrie variable se consumant avec le souffle du temps…
Je suis toujours un peu émue par ces quelques petites flammes ténues qui brillent dans la pénombre des églises comme autant de lueurs d’espoir dans l’ombre de nos existences.
Belle image. Merci pour le partage.