Photo-graphies et un peu plus…

“Sur une branche, perchée avec…”, un nouveau rendez-vous avec un membre de l’écho-munauté… Pour commencer la journée, un petit peu de lecture avec Marc Winkler.

What is the place of photography in your life? In my life, photography is to remember things and events and to make beautiful things.

What is the story of your picture (Yellowknife front yard, G4-11)? We just liked the look of the summer chairs in the winter.

Why association of ideas led you to this picture? The lightpole in our front yard echoes the eiffel tower.

Et tout de suite,

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Les temps sont durs pour le voyageur du 21e siècle… Non seulement il peut se déplacer sur la planète avec plus de facilité qu’à n’importe quelle autre époque grâce à l’envol de l’aviation civile, au déploiement des réseaux routiers et ferrés, mais en plus, s’il ne peut ou veut changer son corps d’environnement, il lui suffit d’appuyer sur un bouton ou de tapoter quelques lettres sur son clavier pour voir le monde s’afficher sur son écran et s’évader virtuellement. Cette omniprésence de l’ailleurs dans nos imaginaires, qu’il soit vécu ou pas, fait que, lorsque l’on y accède réellement, la surprise, ou plutôt la découverte, peut être relative. Et même si vivre est bien différent de voir, le voyageur gâté se laisse parfois aller à un blasé « ça ressemble à… ».

L’allusion n’est ni méchante ni forcément fausse, et elle n’enlève rien à la beauté intrinsèque du lieu en question, elle en relativise simplement la portée. En des lieux inconnus, nous avons en effet parfois tendance à vouloir nous raccrocher à ce que nous connaissons déjà ou croyons connaître. Ce qui semble finalement assez logique, l’inconnu faisant toujours un peu peur. Encore que la peur susceptible de générer un paysage n’a certainement rien à voir avec celle, par exemple, qui nous prendrait d’assaut avant un baptême de parachutisme, là, les jambes dans le vide, l’air frais bloquant la respiration et l’instructeur derrière lâchant, hyper enthousiaste : « Allez, on se jette ! » alors même que nous nous demandons ce que nous faisons là et s’il est possible que le parachute ne s’ouvre pas ou se détache, que sais-je, je n’ai jamais essayé, mais j’imagine… Non, un paysage ne va pas jusque là. A priori. Evidemment, se trouver au bord d’un gouffre peut impressionner les personnes sujettes au vertige mais aussi celles qui ne pensaient pas l’être… Une forêt humide au sol tapissé d’arbres chus et déracinés peut angoisser au crépuscule… Un désert désert sous 50°C peut aussi provoquer quelques sueurs froides… Bon, très bien, un paysage peut être effrayant.

Toujours est-il que cette manie que nous pouvons avoir de comparer ce que nous sommes en train de vivre avec ce que nous avons déjà vécu a cela d’ennuyeux qu’elle gâche un peu le plaisir que nous avons à découvrir un lieu dont nous n’avons jamais foulé le sol. Il faudrait pouvoir effacer tous nos souvenirs, réels ou implantés, avant de partir en voyage pour arriver vierges sur le territoire visité et ainsi pouvoir voir une plage à marée basse comme si c’était la première fois. Car rien, a priori, ne ressemble plus à une plage à marée basse qu’une autre plage à marée basse. Il y a toujours du sable, beaucoup de sable, du ciel, un grand ciel, des gens qui se baladent à l’horizon, un peu d’eau, lointaine… Et pourtant, cette plage à marée basse est unique et ne ressemble à nulle autre que j’aurais pu voir auparavant… A contrario, il arrive que parfois, mais c’est comme les neiges du Kilimandjaro, cela tend à disparaître pour les raisons sus-citées, ce même voyageur n’ait aucun repère et se sente réellement en une place inédite. Il ne peut alors s’empêcher de lâcher « ça ne ressemble à rien de ce que je connais ! »… Ce qui est sûrement le plus beau compliment que l’on puisse faire à un paysage…

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“Sur une branche, perchée avec…”, un nouveau rendez-vous avec un membre de l’écho-munauté… Pour finir ou commencer la journée, un peu de lecture avec Frédéric Blin.

Quelle est la place de la photographie dans ta vie ? C’est quelque chose que j’aime bien faire, et regarder. Je ne dirais pas que c’est important, mais c’est une des choses qui rend la vie plus agréable.

Quelle est l’histoire de cette photo (Elévation spirituelle, G4-19) ? Elle a été prise en vacances en août 2010 sur l’île de Kiji, en Carélie (Russie), lors d’un voyage dans la famille de ma femme. Il s’agit d’un musée à ciel ouvert, avec des reconstructions de nombreux bâtiments caréliens traditionnels : églises, fermes, moulins… Cette photo représente la principale église, et a la particularité d’être construite sans aucun clou, mais uniquement par assemblage des pièces de bois entre elles. L’île est classée au patrimoine mondial de l’Unesco

Quelle association d’idée t’a poussé à choisir cette photo ? La thématique de la hauteur, l’élancement vers le ciel.

Le prochain à s’asseoir sur la branche sera Marc Winkler.

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“Sur une branche, perchée avec…”, un nouveau rendez-vous avec un membre de l’écho-munauté… Pour bien commencer la journée, un peu de lecture avec Matthieu Fargeas.

Quelle est la place de la photographie dans ta vie ? Une grande place. Enorme en fait ! En réfléchissant à ta question, je me suis aperçu que je pourrais en parler des pages. Tellement il y a dans ma vie d’évènement, de souvenir, de rencontre, d’amitié où la photographie a sa place.

Je ne sais plus à quel âge j’ai eu mon premier appareil photo. Mon grand-père avait un petit sac qu’il avait aménagé pour tout son matériel photo. Il faisait des albums photos avec légende, numérotait toutes les photos, conservait tout ça soigneusement. Et surtout, nous montrait les photos et racontait les histoires qui entouraient les photos. Je crois qu’il faisait de bonnes photos en dehors des classiques photos de famille. Je pense qu’il m’a beaucoup influencé. Ca a toujours été la personne à qui j’étais le plus fier de montrer mes photos. Je me demande ce qu’il penserait en voyant mes photos numériques classées dans l’iphoto de mon ordi.  Je fais donc des photos tout le temps mais avec des hauts et des bas. Il peut m’arriver de ne pas en faire pendant des mois et puis d’en faire des centaines en une journée. Il faut que je sois dans un certain état d’esprit pour avoir l’envie. J’aime aussi bien prendre une photo « souvenir » qu’une photo « artistique ». L’aspect « mémoriel » est très important aussi. Par exemple quand je quitte une ville sans y avoir fait de photo, j’ai un sentiment de frustration. J’ai l’impression que je n’aurais plus de trace dans ma mémoire de ce lieu.

L’arrivée du numérique a été perturbante, je voulais rester à l’argentique. Je continuais de faire tirer mes photos en labo puis est arrivé le moment où j’étais toujours mécontent des tirages. J’ai failli arrêter.

Il y a bientôt dix ans, dans mon boulot, j’ai eu à utiliser les premiers numériques de ma vie tout en découvrant l’univers Mac. J’ai vite été converti. Quand j’ai dû partir au Congo, pays humide, poussiéreux et où les photos ne sont pas toujours les bienvenues, un petit numérique étanche et discret était une évidence et j’ai sauté dans cet univers pratique, rapide, communicatif. Tout en continuant de faire de l’argentique. Depuis plus d’un an, j’ai toujours un appareil sur moi. Je ne fais pas plus de photos qu’avant ! Mais mes photos finissent sur disques plus ou moins durs et, ça, je n’aime toujours pas. Merci à toi de leur donner une occasion de promenade !

En dehors de cette pratique, j’ai toujours lu de la presse photo. Je profite d’ailleurs de cette discussion sur la branche pour conseiller à tous ceux qui s’intéressent à l’actualité et à la photographie de lire Polka magazine (qui se trouve aussi partiellement sur le net pour ceux qui ne sont pas en France). Ma période parisienne a été envahie de visite d’expositions (comme Paris peut l’offrir à l’envi) ce n’est pas toi qui va me contredire. En revanche j’ai peu de bouquins sur la photo et malgré la chance que j’ai de travailler depuis un certain temps en contact plus ou moins fréquent avec des photographes connus (ou non !) je n’en ai pas profité pour collectionner les dédicaces ou les cartes de visite. En revanche il y a un an, je suis devenu, à ma grande surprise, collectionneur de tirages. Si cinq photos, du même photographe, peuvent être considérées comme une collection…

Quelle est l’histoire de cette photo (Porte fermée, intrigante, G4-2) ? J’étais allé à Essaouira en solitaire. Meilleur moyen de faire des photos. Je me promenais donc dans la vieille ville, une après-midi, et beaucoup de magasins étaient fermés. Je me suis aventuré dans un derb pour faire des photos d’une porte murée et surmontée d’une arche en pierre. En arrivant au fond de l’impasse, j’ai découvert un passage couvert où se trouve cette taverne. Je n’avais pas beaucoup de recul pour prendre la porte en entier. La lumière était faible. Mais la porte me plaisait, l’inscription aussi. Alors j’ai essayé de faire au mieux. Je n’étais pas trop content  de moi, mais quand j’ai réalisé qu’il y avait une faute d’orthographe je me suis dis que ça valait quand même le coup de la garder. A l’heure actuelle je ne sais toujours pas ce qu’est cette taverne. Une excellente raison de retourner là-bas!

Quelle association d’idée t’a poussé à choisir cette photo ? A chaque fois que j’accroche une photo dans l’arbre, je fouille dans ma mémoire la photo qui peut faire écho à l’une de celle ayant retenue mon attention. Et j’essaye de publier une photo que je trouve bonne. Je ne suis pas spécialement satisfait de celle là d’ailleurs comme je l’ai dis, mais elle s’est imposée. Le détail du cadenas sur la porte de la photo de la génération précédente a retenu mon attention. Je ne me souvenais pas si j’avais une photo d’un détail qui pourrait faire échos mais je savais que j’avais des photos de porte. Et quand j’ai vu celle de la « taverne des pêcheures » je me suis dis que c’était la bonne. Les couleurs, les multiples ferrailles fermant la porte. De plus, je me dis que les autres détails de la photo ouvrent de multiples portes pour la génération suivante.

Dans quelques heures, Frédéric Blin montera sur la branche…

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“Sur une branche, perchée avec…”, un nouveau rendez-vous avec un membre de l’écho-munauté… Pour poursuivre la journée, Caroline Rossignol.

Quelle est la place de la photographie dans ta vie ? Je photographiais en voyage avec un appareil argentique. Maintenant, je me suis faite au numérique et photographie tous les jours mon enfant !!!

Quelle est l’histoire de cette photo (Toujours plus fort ce Kapoor, G4-20) ? En visite  autour du Léviathan d’Anish Kapoor, j’ai essayé de capter la monstruosité de l’œuvre, son côté » je vais vous écraser ». Cette photo met en scène le contraste entre le plein, le lisse, le noir et l’impression de  lourdeur  de l’œuvre d’Anish Kapoor avec la dentelle et la luminosité du toit du Grand Palais.

Quelle association d’idée t’a poussée à choisir cette photo ? Tout simplement le titre de la photo de la génération précédente: « Toujours plus haut »…ça m’a fait penser au défi qu’Anish Kapoor et les autres artistes invités relèvent tous les ans, depuis 4 ans ,  à Monumenta au Grand Palais: « Toujours plus fort… »

Demain, Matthieu Fargeas sera l’invité de la branche…

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“Sur une branche, perchée avec…”, un nouveau rendez-vous avec un membre de l’écho-munauté… Pour débuter la journée, Caroline Rousseau-Coste.

Quelle est la place de la photographie dans ta vie ? Je dirais une place familiale et sentimentale ! C’est surtout pour moi une envie de souvenirs et de partages… J’ai gardé mon premier appareil, un petit Kodak blanc qui m’a été offert par mes grands-parents quand j’étais enfant… Et pendant des années, beaucoup de photos de ma famille et de mes amis… J’ai hérité du reflex de mon père, un vieux Zénith, qui a donc une valeur inestimable, et que j’utilise encore un peu! il m’a aussi donné deux livres sur la pratique de la photo, qu’il utilisait pour comprendre la magnifique technique de l’entrée de la lumière dans cette chambre noire… Enfin, je partage aujourd’hui la photo avec mon homme; notre premier achat en commun a été un appareil photo, et mon principal sujet ces deux dernières années a été ma fille !  C’est dire si c’est une histoire de famille…

Quelle est l’histoire de cette photo (Un message sur ton mur, G4-13) ? Notre premier nid avec mon homme, un petit deux pièces qu’on a voulu remettre à notre goût… Un message que je lui ai écrit, destiné à être effacé, et qui fatalement allait tomber dans l’oubli ! C’était trop dur pour moi, il fallait que j’en garde le témoignage, la trace… Et puis faire partager ce message intime à la terre entière grâce à la photo, c’est le top non ?!

Quelle association d’idée t’a poussée à choisir cette photo ? Les messages ou dessins ou peintures faits sur les murs des villes sont fatalement destinés à disparaître… J’aime l’idée qu’une scène, un dessin, un message, soit « sauvé » de l’oubli grâce à la photo ou la vidéo…

Dans quelques heures, Caroline Rossignol grimpera sur la branche…

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Aucune ville n’est parfaite, pour la simple et bonne raison que la perfection n’existe pas. Et puis, heureusement, car si cette ville existait, tout le monde voudrait y vivre. Cela ferait monter les prix de l’immobilier, s’y loger deviendrait impossible hormis pour les plus nantis. La ville perdrait alors son qualificatif de parfaite pour le troquer par celui de ghetto. Et puis, même si la perfection existait, il faut être conscient qu’elle n’attire pas tout le monde. Bref. Certaines villes, donc, se rapprochent néanmoins de cette perfection, ce qui n’a aucune valeur universelle pour autant mais est simplement le sentiment totalement subjectif qu’une personne pourrait ressentir en vivant dans telle ou telle ville, et en réalisant qu’elle cumule un certain nombre des critères qu’elle a listés comme essentiels pour sa ville d’élection, ou du moins, rêvée.

Une des limites, connues et avérées, de Vancouver par exemple est – certes la pluie mais, comme on ne fait pas d’omelette sans casser d’œufs, on n’a pas une nature verdoyante sans un peu de précipitation -, son relatif désintérêt pour la culture, au profit du outdoor, des activités sportives, du plein air. C’est vrai, les premiers temps, on transpire à force de voir des gens courir, pédaler, ramer, surfer, courir, je sais, je l’ai déjà écrit, mais ils courent vraiment beaucoup… Et puis, on finit par prendre le rythme, comme si c’était contagieux. On se voit en train de courir le long de la mer alors que l’on s’était juré de ne jamais courir après rien, on s’achète un vélo et on part à la conquête de la ville. La culture donc, c’est ce qui ressort quand on compare l’est et l’ouest, Vancouver et Montréal, connue pour son dynamisme en la matière. La tête et les jambes ? Cela n’empêche pas les québécois de faire du sport, et de vouer, comme leurs lointains voisins mais néanmoins compatriotes, ou plutôt comme tout canadien/ne dès les premières heures de sa vie, un culte sans borne au… hockey. Le fameux hockey sur glace, ou sur bitume dès lors que la glace a fondu ou n’a jamais pris. Ce n’est pas un mythe.

C’est un peu comme le foot en France un soir de finale de coupe du monde qu’elle jouerait mais en dix fois plus hystérique. Les canadiens pensent, vivent, boivent, mangent, dorment, s’habillent hockey et cette adoration dépasse les classiques questions de genre, d’âge, de sexualité, d’origine… Deux exemples pris sur une liste imaginaire qui en comporterait des centaines : un récent soir de match de l’équipe locale – les Canucks -, une immense toile de probablement 4 m sur 10 m pendait côté arrivée de la tour de contrôle de l’aéroport international de la ville avec un immense : Go Go Canucks !  Vous imaginez les gars de la tour de contrôle de Roissy accrocher un énorme drapeau « Allez, allez le PSG ! » ? Non ! Ici, c’est possible. Espérons simplement qu’aucun avion n’arrivait de ce côté là ! L’autre exemple ? Temps de pique nique sur la plage, après midi qui joue les prolongations. Mais il y a match ce soir. Dilemme ? Rentrer chez soi, rester ici ? Les deux mon capitaine en installant le salon avec écran plat et sièges sur l’aire elle-même ! Comme ça, après le match, on peut reprendre la partie de volley à côté ! Ainsi, si vous trouvez que la ville est anormalement vide et silencieuse à certaines heures de la journée, c’est sûrement qu’il y a un match en cours. C’est alors le moment pour tous ceux qui n’y entendent rien – mais il n’y en a pas beaucoup il faut l’admettre et je doute qu’ils s’en vantent d’ailleurs – d’aller magasiner : il n’y aura personne aux caisses et l’affaire sera réglée en moins de 2… Evidemment, vous croiserez une espèce particulière de Vancouvérois, dont les caissiers/ières d’ailleurs, portant un T-shirt Canucks. Marketing parfait quant à lui puisqu’il y en a pour les hommes les vrais, les femmes les vraies, les enfants, les bébés et même les chiens (à vérifier, sinon, je lance le business (ça y est, je me nord-américanise !). Etant donné que c’est peut être la deuxième passion du pays, ce qui semble tout à fait logique compte tenu de l’espace, je ferais d’une pierre deux coups !)… C’est donc tout naturellement que cette sirène (oui, tout ça pour ça) accueillant les visiteurs de la ville a été habillée de la tenue officielle de l’équipe et équipée d’une crosse… Voilà comment Vancouver se réconcilie avec la culture ! Ce qui pourrait être le mot de la fin, mais non… car la sirène, au naturel, est elle-même un détournement sportif de la sculpture de la Petite sirène de Copenhague… Si vous regardez bien, vous verrez que celle-ci, en tenue de plongée (si, si) porte des palmes… Et ce que cache sa casquette n’est autre que son masque de plongée ! Cet humour, ça doit être culturel !

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“Sur une branche, perchée avec…”, un nouveau rendez-vous avec un membre de l’écho-munauté… Pour compléter la journée, Ludo Coste.

Quelle est la place de la photographie dans ta vie ? J’ai eu plusieurs vies… Dont une avant la Photographie, et une après… Elle est pour moi l’instrument parfait au service de la réalisation du fantasme, quel qu’il soit. Celui de la lumière, de l’instant, du regard, du sourire, de l’indiscrétion, du temps … (Liste non exhaustive !)

Quelle est l’histoire de cette photo (Aurore glaciale, G4-5) ? Quelques jours après Noël, un matin, tôt, par moins 15°C… C’est le contraste entre la chaleur éternelle d’un lever de Soleil, et le givre de la campagne figée par le froid qui m’a plu.

Quelle association d’idée t’a poussé à choisir cette photo ? Elle est simple ! Chez moi, je veux dire dans mon imaginaire, un lever de soleil en appelle un autre, comme un perpétuel recommencement !

Prochaine à se poser sur la branche, Caroline Rousseau-Coste. Et oui, on participe en famille !

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(English version below : please, scroll down)

La 5e génération d’Objectif_3280 est lancée ! Les choses sérieuses commencent : 81 photographies sont à recueillir en écho aux 27 de la 4e génération. L’écho-munauté s’ouvre avec des images venant pour la première fois d’Allemagne, du Nicaragua, du Japon, d’Espagne, du Maroc et du Canada. Il en reste encore beaucoup ! Continuez à laisser aller votre imagination et à diffuser l’information ! Pour les prochaines générations, on passe aux centaines avec 243, 789 puis 2 187 échos à collecter ! Pour ceux qui connaissent déjà les règles, rendez-vous directement sur l’arbre écho-photographique pour poster votre écho ! Pour les nouveaux arrivants, nombreux je l’espère, vous pouvez passer par la page Objectif_3280 même si une synthèse est faite sur la page de l’arbre… Vous verrez, c’est très facile ! Pour info, pour faciliter la visualisation des images et la proposition des échos, vous pouvez  utiliser l’entrée par planche contact générationnelle (icône rouge sur la gauche de l’arbre). Ce sera plus simple et plus attractif à ce stade, notamment pour les personnes découvrant l’arbre maintenant.

Merci encore pour votre participation !

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The fifth generation of Objectif_3280 is now open! It is getting more complicated now: 81 pictures have to be gathered in reply to the 27 of the fourth’s generation. The echo-munity opens itself  with echoes coming from Germany, Nicaragua, Spain, Japan, Germany and Canada. A good start! Let you imagination go and continue to share the information. For the three last generations, we need 243, 789 and finally 2 187 echos! For those who already know the rules, you can go directly to the tree: echo-photographic tree to post your echo. For the new ones, many I hope, everything is explained on the project’s page : Objectif_3280. It is very easy! To facilitate the visualization and the suggestion of an echo, you can already use the generational contact sheet (in red, on the left of the tree). That will be simpler, above all, for people who discover the tree now.

Thank you again for your participation!

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