Ce n’est que dans un deuxième temps que l’on voit les cinq petites silhouettes féminines et enfantines se détacher du chemin sur la droite. Et ce n’est donc qu’après les avoir vues que, estomaqué, l’on retourne aux tiges pour tenter d’en extrapoler la taille en ajoutant, virtuellement, les personnes les unes au dessus des autres. 1, 2, 3…, 9, 10, 11, on peut en mettre 11, 12 peut-être. Nous ne sommes décidément pas grand chose aux côtés de simples bambous sauvages…